UEFA Champions League : les 6 nouveaux changements
Pour le second tour de cette édition 2019-2020, l’instance dirigeante a procédé à 6 nouveaux changements sur et en dehors de l’aire de jeu.
1 – Les entraîneurs auront la possibilité d’avoir jusqu’à 4 remplacements de joueur en cas de prolongation. L’application se fera de la façon suivante : 3 durant les 90min et 1 en prolongation.
2– Les clubs sont désormais autorisés à ajouter 5 joueurs en plus sur la feuille de match ainsi, ils seront au total 23 joueurs.
3 – A partir du second tour, il est permis d’inscrire 3 nouveaux joueurs après la fin de la ligue des groupes
4 – Les transferts au mercato d’hiver ne seront pas synonyme d’exclusion pour les joueurs. Le joueur qui se déplace entre deux équipes participant à la Ligue des champions est autorisé à jouer dans sa nouvelle équipe.
5– Le personnel technique est désormais autoriser à transporter des appareils électroniques tels que l’iPad et d’effectuer diverses tactiques, contrairement à MG, alors qu’il empêchait le transport d’appareils électroniques sur le terrain.
6 – L’ annulation de la préférence de but au match à l’extérieur et prolongation en cas d’égalité au niveau du cumule des buts, aucun buts ne sera multiplié par 2 à l’extérieur. En cas de (3-1) et (0-2), il y aura une prolongation entre les protagonistes.
Open d'Australie
Une simple formalité. Sous le soleil retrouvé de Melbourne, Rafael Nadal a franchi le 1er tour face à Hugo Dellien en trois sets (6-2, 6-3, 6-0). S'il n'a perdu que cinq jeux, le numéro un mondial a tout de même eu besoin de deux heures face au Bolivien, pour qui le score apparait sévère. Mais tout va bien pour le Majorquin.
Rafael Nadal a connu une mise en route assez tranquille mardi sur une Rod Laver Arena à nouveau baignée de soleil. 6-2, 6-3, 6-0 face à Hugo Dellien, le score dévoile une impression de facilité partiellement trompeuse, en tout cas pour les deux premières manches. Car il aura tout de même fallu un peu plus de deux heures au numéro un mondial pour écarter le Bolivien, qui aurait peut-être mérité de grappiller quelques jeux de plus au vu de l'intensité des débats dans la partie initiale du match.
"J'ai mené 5-0, mais c'était très difficile, un vrai combat. Il avait beaucoup d'occasions, des occasions dans tous les jeux", a d'ailleurs concédé Nadal sur le court après le match au micro de Jim Courier. Mais tous ces jeux accrochés, c'est bien le Majorquin qui a fini par les remporter les uns après les autres. Hugo Dellien a tout de même réussi à signer deux breaks sur l'ensemble du match, presque un exploit compte tenu de la sécheresse du score final.
Dellien martyrisé sur son service.
Mais le Bolivien a été beaucoup trop martyrisé sur sa propre mise en jeu. Dellien a fini le match avec des statistiques catastrophiques au service : seulement 50% de points gagnés sur sa première balle et 32% sur sa seconde. Résultat, 18 balles de breaks concédées et pas moins de huit jeux de service perdus. Difficile de rivaliser durablement dans ces conditions.
Une bonne entrée en matière donc pour Rafael Nadal, en quête d'un deuxième titre à Melbourne, onze après son unique victoire, en 2009. "C'est positif, a-t-il estimé. L'essentiel, c'est de gagner, et gagner en trois sets c'est encore mieux dans un premier tour." L'Espagnol poursuivra sa route face au vainqueur du match qui doit opposer ce mardi l'Argentin Federico Delbonis au Portugais Joao Sousa.
NBA : les Celtics écrasent les Lakers
Dans l'affiche de la soirée NBA géante de lundi, Boston et Kemba Walker ont infligé une déculottée aux Los Angeles Lakers.
Il aura attendu sa neuvième saison en NBA et son 29e essai pour y parvenir : lundi soir, Kemba Walker a enfin battu LeBron James en match officiel. Le meneur de Boston a joliment apporté sa pierre (20 pts) à une entreprise de démolition en règle des Los Angeles Lakers. La formation californienne, leader de la Conférence Ouest, a été fessée 139-107, sa plus lourde défaite en cette saison de renaissance. Les Celtics, qui restaient sur trois revers de rang, redressent la tête pour s'accrocher à leur quatrième place à l'Est.
Mais le moins que l'on puisse dire, c'est que cette gargantuesque soirée de lundi férié (14 matches au programme à l'occasion du Martin Luther King Day) ne restera pas un grand souvenir pour LeBron James.
LeBron James postérisé par Jaylen Brown
Le King s'est contenté de 15 points et 13 passes décisives, à seulement 5/12 au tir. Et il a subi, impuissant, un terrible dunk de Jaylen Brown (20 points) lors du troisième quart. Après avoir calé au démarrage (0-8, 1re), les hommes en vert ont outrageusement dominé ce nouvel épisode de la grande rivalité historique de la Ligue à partir du deuxième quart-temps (45-44, 17e ; 69-53, 23e).
Sous les yeux du rappeur Snoop Dogg, les Celtics se sont appuyés sur leur collectif et une grosse adresse à trois points (22 tirs primés réussis à 47 % contre 27 % chez les Lakers). Jayson Tatum y a été de ses 27 points, Enes Kanter en a inscrit 18 saupoudrés de 11 rebonds et Gordon Hayward a ajouté 16 points, et le Français Vincent Poirier en a profité pour se montrer (5 points et 3 rebonds en 6 minutes).
Présenté par Denley JOSEPH
©️UltiMag
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