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Bulletin Sportif




 

L'Afrique a un nouveau roi.

Pour la première fois de sa carrière, Sadio

Mané a été élu, mardi soir, meilleur joueur africain de l'année 2019.


L'international sénégalais, vainqueur de la Ligue des champions la saison dernière avec Liverpool, était en compétition avec Mohamed Salah, son coéquipier du côté des Reds et sacré les deux années précédentes, et Riyad Mahrez, l'international algérien de Manchester City.


Pour voir un joueur sénégalais remporter cette récompense, il fallait remonter à El-Hadji Diouf en 2002. La longue disette s'est donc terminée ce mardi à Hurghada, en Egypte.

Battu en finale de la CAN par l'Algérie l'an passé, au pied du podium du dernier Ballon d'Or, Sadio Mané a désormais de quoi se consoler, lui qui a inscrit 25 buts en 50 matches toutes compétitions confondues la saison dernière avec Liverpool. Il fait bien évidemment partie des grands artisans du succès de son équipe en C1. A son palmarès, il a également ajouté la Supercoupe d'Europe et le Mondial des clubs, disputé en décembre dernier.



 

Serena Williams, ex-no1 mondiale a signé un succès expéditif face à l'Italienne Camila Giorgi (6-3, 6-2) mardi lors de son retour à la compétition à Auckland quatre mois après la finale décevante perdue à l'US Open.




La prolifique américaine de 38 ans (10e mondiale), qui n'avait plus joué sur le circuit WTA depuis sa défaite devant la pépite canadienne Bianca Andreescu à Flushing Meadows, n'a eu besoin que de 1 heure et 8 minutes pour écarter Giorgi, ancienne 26e mondiale (99e actuellement), issue des qualifications.


«Je me sens vraiment bien, c'est sympa d'être là. C'est vraiment bon de sentir que l'on a encore de la puissance dans les bras et les jambes», a apprécié Serena Williams après avoir conclu la partie sur son huitième ace.


La joueuse de Saginaw, qui devait initialement affronter la Russe Svetlana Kuznetsova, deux fois gagnante en Grand Chelem, avant que la Russe ne se retire en raison d'un virus, a déclaré que sa préparation avait été facilitée en jouant en double avec la Danoise Caroline Wozniac.




 

C’était une des surprises de cette nouvelle année, un cadeau visuel pour les fans de Houston. Dans la réception des Sixers au Toyota Center cette nuit, James Harden a opté pour un tout nouveau look. Rassurez-vous, cela n’a rien changé à sa production puisque le barbu a tout simplement écoeuré Philadelphie à domicile (118-108).



Auteur de 44 points. 11 rebonds. 11 passes. 13/24 au tir. 6/12 du parking. 12/12 aux lancers. 44 points en 24 shoots, une victoire méritée face aux Sixers


Il y en a eu, des belles performances venant de Harden cette saison. Il y en a eu tellement, défiant les lois statistiques, qu’on l’a même trop pris pour acquis, lui et sa production offensive quotidienne. Du cinquante, du quarantaine, du double-double, il y a le choix. Mais face aux Sixers, il est vraiment compliqué de revoir ce match en se disant que James a réalisé un grand nombre d’erreurs. Il y avait clairement la sensation suivante émanant du joueur sur l’intégralité de son temps de jeu : tout au ralenti, selon lui. Harden donne cette impression si bizarre, si unique, de se balader en imposant son rythme et en endormant ses défenseurs, et c’est ce qu’il a fait à la perfection cette nuit. D’abord bien gêné par le pressing de Ben Simmons ainsi que ses longs bras, James a préféré nourrir Capela en-dessous et laisser Westbrook mettre du tempo, sachant très bien que son poignet pourrait gérer la suite quand bon lui semble. Dans le second quart, et dans le dernier également, Harden a su quand il fallait mettre un coup d’accélérateur afin de distancer ses adversaires du soir, le finish de la rencontre étant une merveille de technique, d’insolence et de lecture de jeu. And one sur and one, step back sur step back, caviar sur caviar, tout ce que touchait James se transformait en or et les Sixers ne pouvaient pas y faire grand chose. D’ailleurs, même en se projetant dans la peau d’un fan de Philadelphie, on peut difficilement revenir sur la rencontre et ne pas avouer l’incroyable niveau de domination de l’arrière barbu ce vendredi.


Auteur de son premier triple-double de la saison, James Harden a été énorme, tout simplement. Et pour un type qui voulait assurer en antenne nationale, à domicile, avec un nouveau look, face à un client sérieux.


Presenté par : Denley JOSEPH

©️UltiMag


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