«Le désir, c’est le point de départ de tout accomplissement», UltiMag vous fait part d’un exemple assez clair avec l’illustre Edwin C. Barnes et qui peut vous servir de spécimen.
Edwin C. Barnes Barnes est né vers 1878 dans le Wisconsin. Vers 1904, il épousa une femme nommée Esther. Ils eurent une fille vers 1906 alors qu’ils étaient au Colorado.
Dans sa jeunesse, Edwin C. Barnes aspirait à devenir associé du plus grand inventeur sur Terre, Thomas A. Edison, c’était son vif désir. Étant fauché et n’ayant pas de compétences techniques spéciales, Barnes s’habillait piètrement, il s’engagea tout de même à la concrétisation de son rêve qu’est l’accomplissement de ce vif désir.
Il ne partageait absolument aucun lien avec Thomas, il n’avait pas d’argent pour payer un train pour se rendre dans le New Jersey, et tant d’autres obstacles se présentaient entre lui et son objectif. Sûrement ces obstacles auraient poussé certains d'entre vous à abandonner...
Euh bien, lui, son immense désir surpassait tout et a décidé de contrecarrer ces obstacles. En d’autres termes, son énergie , sa passion, son acharnement prenaient le dessus sur l’idée d’abandonner.
Il ne se contentait pas seulement du désir et reste inactif, il a agi puisqu’il s’est engagé à réussir et qu’il était prêt à faire tout ce qu’il fallait. Alors, qu’a-t-il fait?
Il a sauté dans un train de marchandises et y est resté caché jusqu’à ce qu’il arrive dans la ville où Edison vivait… Après son arrivée, il a sauté du train et a marché jusqu’au bureau d’Edison. Rappelez-vous qu’Edison n’avait aucune idée de qui était Edwin, et il ne savait pas non plus qu’Edwin allait entrer par hasard dans son bureau.
« Ressemblant à un clochard ordinaire », première impression d’Edison sur Edwin à son arrivée, Edison décide de laisser Edwin travailler pour lui.
Par la suite, Edwin se livrait entièrement dans son engagement indéfectible vers sa réussite.
Son principal but était de travailler avec Edison et non pour lui.
Le temps passa, et comme Edwin continuait à travailler fidèlement pour Edison, une occasion se présenta: Edison venait de sortir une toute nouvelle invention de son qu’il voulait vendre sur le marché, cependant, aucun de ses vendeurs ne le vendrait! Ils se sont moqués du concept et ont dit à Edison que personne ne l’achèterait, alors ils ont refusé de le vendre. Edwin l’a emporté et a dit à Edison qu’il le vendrait. … Et il l’a fait. Edwin est ensuite devenu l’un des meilleurs vendeurs de la plus récente invention d’Edison et finalement, est devenu partenaire d’affaires avec Edison.
Avez-vous commencé à voir le vrai pouvoir de vous engager dans votre succès et de faire tout ce qu’il faut? Même avec toutes les chances empilées contre lui, Edwin est resté engagé dans son succès et transformé ses obstacles dans les pierres angulaires de son succès. Par conséquent, Edwin a réalisé son rêve et bien plus encore… Non seulement il a fini par travailler avec Edison… Il a aussi cultivé une vie nouvelle remplie d’abondance et de richesse… Il a même amassé une grosse somme d’argent…
Alors, comment l’histoire d’Edwin vous touche-t-elle? Elle vous force à vous regarder dans le miroir et à vous demander… « Suis-je engagé dans mon succès? » « Est-ce que je cherche des excuses ou est-ce que j’obtiens des résultats? » « Est-ce que je me concentre sur les obstacles ou les solutions? » « Est-ce que je me concentre sur ce que je ne peux pas faire ou ce que je peux faire» ???
Il savait ce qu’il voulait accomplir; il concentrait son énergie sur les objectifs qu’il avait choisis et évitait les « pertes de temps »; il utilisait le pouvoir de l’imagination pour contourner les difficultés; Il a saisi des occasions; Il a maintenu une détermination tenace pour transformer ses objectifs en réalité; Il a travaillé de longues heures avec l’énergie concentrée pendant de nombreuses années pour obtenir ce qu’il voulait, Il n’a pas été découragé par des obstacles, Il a conceptualisé des idées. En alignement avec ses objectifs, il a trouvé un moyen d’aider les autres à devenir plus réussi; Il s’est rendu inestimable dans son travail, tellement qu’Edison ne pouvait pas s’en sortir sans lui, Il s’est engagé à fournir à ses clients un service de qualité, Il a sélectionné les bonnes personnes et inspiré ses équipes à la grandeur, Il a tout appris sur son métier.
Edwin a également économisé une grande partie de ses gains initiaux en tant qu’employé du complexe de laboratoire West Orange d’Edison pour acheter des vêtements neufs et de qualité. Et, finalement, il a construit une garde-robe assez impressionnante. À une époque, juste avant que Barnes ne prenne de l’ampleur au sein de l’organisation Edison, Napoléon Hill écrivait dans la Loi du succès : « À cette époque, il possédait la collection de vêtements la plus grande et la plus coûteuse que j’aie jamais vue ou entendue d’un seul homme. Sa garde-robe se composait de trente et un costumes, un pour chaque jour du mois. Il ne portait jamais le même costume deux jours de suite»
Bien qu’Edwin C. Barnes ait pris son dernier soupir il y a plus de 65 ans, son vif désir aboutissant à tel accomplissement immortalise notre esprit.
De surcroît, Erdwin nous a appris que le succès réel est le résultat combiné d’un désir, d’une motivation, de l’action bien définie.
Edwin C. Barnes a pris sa retraite de la vie des affaires en 1951, quelques mois après sa retraite, le destin a tourné au vinaigre sur le grand vendeur. Barnes tomba gravement malade et mourut à Bradenton, en Floride, le 23 septembre 1952.
Recherche et rédaction : Nancy Similien
©️UltiMag
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